Leon Hill

Âge : 24 ans Sexe : M Dragon : Shun'Rei C'est une petite dragonne noire aux yeux bleus dont le regard semble nettement plus sage que celui de son maître. Sa tête allongée comme le museau d'un renard est ornée de belles écailles brillantes et d'une mâchoire aussi délicate que puissante. Dans les rayons de la lune, il n'est pas rare de voir ses dents aiguisées luire sinistrement dans l'obscurité de la nuit. Et ce sourire sinistre paraît alors répondre au cri strident que font les serres démesurées de la dragonne à l'endroit où elle se pose. Très élancée et longiligne, Leon tient à peine sur son dos et doit s'aplatir contre son échine pour garder l'équilibre. Mais cet inconfort relatif dissimule en fait un véritable atout dans l'espionnage et les attaques rapides ou discrètes qui sont la spécialité du tandem. Quant aux ailes de Shun'Rei, elles sont à l'image de son corps : plus longues que largues. Si elles permettent ainsi une incroyable mobilité – bien supérieure à la moyenne des dragons – elles ne peuvent supporter plus que le poids de son propre maître. Lequel, en général, ne trouve rien de plus romantique qu'une virée en amoureux à dos de dragon...

D'où vient votre avatar ?  Le Kaerl Céleste

Description

> Description Physique :
Une porte claque dans la nuit. L'écho sourd de la marche mal-assurée d'un homme sur les graviers lui répond. Les pas sont larges et emprunt d'une élégance que l'alcool tend pourtant à effacer. Lorsqu'un grognement sinistre retenti dans la nuit l'homme entreprenant maladroitement de glisser les pans de sa chemise dans son pantalon. Un bâillement discourtois tonne paresseusement dans la nuit. C'est une voix grave aux accents insolents qui défit l'ombre noire qui lui fait face. Celle-ci de toute sa hauteur grogne de nouveau, férocement et approche du petit être sa gueule encore ensanglantée. Mais l'homme ne frémit pas et répond sur le même ton, avec un borborygme digne du plus vide des estomacs. La forme semble pousser un soupir et se redresser pour patienter.

Ce réveil nocturne ne semble guère convenir à ses habitudes laxistes, l'individu passe une main dans ses cheveux courts. Ils ont beaucoup repoussé depuis la dernière coupe de printemps ce qui lui donne un air faussement négligé qui contribue à son charme de petit brigand. Il veut adresser quelques mots au monstre face à lui mais rien ne sort. La bouche encore pâteuse de l'orgie de la veille, le jeune homme passe mollement ses ongles sur son menton et qui ripent alors sur quelques poils revêches ici et là. D'habitude il y fait plus attention, la barbe ne lui va pas vraiment et la raser est son petit plaisir, mais cette nuit, il ne faut pas trop lui en demander car il a déjà fait des efforts, la preuve : ses bottes ne sont presque pas dépareillées. La créature semble s'impatienter, elle module presque un prénom, à moins que ce ne soit l'imagination de l'ivrogne qui lui joue des tours.

« Leon »

Il ne peut s'empêcher de bailler, découvrant des dents très régulières et très blanches malgré la nourriture infecte et aux antipodes de la diététique qu'il adore ingurgiter. En se refermant, ses lèvres fines émettent un claquement particulier que l'on peut presque désigner comme la signature du garçon tant il l'utilise ; à la fin de ses phrases, lorsqu'il est heureux ou nerveux, quand il se moque de quelqu'un, en draguant... Bref, tout ça pour revenir à ce sourire narquois qui déjà se dessine dans la pénombre du matin levant. Les rayons du soleil teintent l'horizon d'un oranger paisible qui découpe les ombres des arbres. Cette couleur étrange de l'aube la plus tenue ressemble à celle qui se trouve dans les yeux de Leon. Un rougeoiement inquiétant qui n'est pas tout à fait humain et qui témoigne probablement d'un ancêtre obscur.

D'un bond leste et élégant, l'homme se hisse sur le dos d'une dragonne à la ligne parfaite. Il est presque aussi large qu'elle. Des épaules puissantes et des muscles d'acier qui se tordent sous une tunique pourpre et riche. Quant à sa taille, le jeune homme a le port d'un roi du haut de ses un mètre quatre-vingt. Et s'il n'est pas encore à votre goût, mesdames, osez jeter un coup d'oeil sur la cicatrice virile qui zèbre sauvagement son visage, se précipite sur son yeux gauche qui lui dévorer la joue. La trace d'un combat dont le récit, sans conteste, vous passionnera. Envie d'en savoir plus sur cet Apollon de pacotille ?

> Description Mental :

La dragonne tend ses pensées vers son maître, juché sur son dos à des dix de mètres du sol. Elle ne comprend pas se besoin humain d'aller boire jusqu'à tomber par terre, cette idée de changer de compagne pour une nuit à peine. Il la fatigue, certains jours elle se sent dépassée par cet être insignifiant qu'elle pourrait écraser d'une patte.

« J'ai pas fait la fête Shun'... et puis si. Et je t'emmerde, OK ? Je suis fatigué de cette vie ! On gagne à peine pour manger, alors laisse moi boire pour une fois ! J'y peux rien si j'aime passer du bon temps. »

La voix de Leon est celle d'un adolescent attardé, le lendemain d'une cuite monstrueuse.... ce qui n'est pas qu'une image. En vérité, le jeune homme détient une conception un peu à part de ce qui est la « responsabilité ». Malgré son âge, il pense toujours au jour le jour et conçoit sa vie comme n'étant qu'une très longue suite d'événements indépendants les uns des autres. En clair : il ne réfléchit jamais aux conséquences de ses actes. Cela explique, entre autre, son activité de voleur/vandale au sein de la société humain et dragonesque. Aminé par le seul espoir de manger à sa faim et de picoler allègrement, il accepte tous les travailles sans conviction particulière. Il volera aux pauvres pour donner aux riches sans le moindre état d'âme et inversement.
Cependant, c'est aussi une personne hautement sympathique et son « je-m'en-foutisme » chronique n'y est peut-être pas pour rien. Il ne s'encombre pas de méfiant ou d'honneur superflus et n'hésite pas à aller vers les autres pour parler de tout et de rien. S'il n'a pas reçu une éducation riche, il est doté d'une curiosité naturelle dans à peu près tout les domaines et en font donc un compagnon vif et intéressant.
Autre vice du l'individu, en plus de l'alcool et de la nourriture, ce sont les filles. Ce séducteur des bas fonds du royaume n'a pas froid aux yeux et chasse sur tous les tableaux, des bourgeoises aux mendiantes, des elfes aux naines.

« Bon te vexe pas Shun'Rei. On va où ? »

Malgré les apparences et les airs qu'il veut se donner, Leon est absolument incapable de se débrouiller sans sa dragonne qui est comme une sœur pour lui. Il ne se sent vraiment en sécurité que contre ses épines dorsales en forme de plumes et ne dort paisiblement que sur son ventre d'onyx. Plus que dans le regard de n'importe quel autre être, c'est dans celui de la bête qu'il trouve la compréhension et l'empathie dont il a besoin. Et comme lui, la dragonne n'a qu'un seul alter ego. Si au prime abord, elle est plus douce et plus sérieuse que son maître, elle n'hésite pas à lui grogner dessus et s'est plusieurs fois empêcher de le croquer net. Mais au fond, le duo est inséparable. C'était d'ailleurs l'une des seules personnes auprès de laquelle Leon s'excuse volontairement. Car son air narquois n'est pas que purement décoratif. Il est aussi le témoignage d'un certain sadisme sans foi si loi et d'un orgueil susmentionné. Certes, il n'a pas de naissance, mais qu'en a-t-il à faire mon brave ? Il riposte avec aplomb et n'hésite pas une seconde à se jeter dans une joute verbale contre plus grand que lui. Bien évidemment, Leon est tout à fait incapable de se contrôler une fois lancé et s'est plusieurs fois échappé à la dernière seconde d'une bataille générale déclenchée dans un bar quelconque.
Sa capacité terrifiante à énerver son monde s'est développée à un point proche de l'apothéose, poussant le jeune homme à apprendre à courir très vite et à se battre avec adresse quand les mots ne suffisent plus. Cependant, il éprouve un certain dégoût à l'égard de ceux qui n'ont plus d'autre choix que de laver leur humiliation dans le sang plutôt que continuer à lutter verbalement.

La dragonne désigne du museau une caravane naine sur un sentier au loin dans le paysage. Les gardes sont endormis ou ivres car aucune alarme n'est lancée. C'est sans nul doute le meilleur moment pour l'attaquer. Cette vie de brigand n'est au fond pas déplaisante à Leon qui n'a jamais supporter l'autorité de quiconque et dont la compagnie prolongée est rapidement insupportable. Faire équipe avec cet homme est aussi agréable que danser la valse avec un nain aveugle. Son manque de sérieux et son attitude fière ou bravache nourrit une envie dévorante de l'assommer.

> Histoire :
« Alors, raconte moi Leon, tu viens d'où comme ça ? » Demanda une jolie blonde accoudée au bar de la taverne. Ses longs cheveux dessinaient un visage fripon que rehaussaient le saphir de ses yeux.
« C'est une logue histoire Madyh. Disons que je suis en quelque sorte un prince chassé de son trône par un traitre.... » Commençai Leon avant qu'une large main ne s'écrase dans son dos.
« Mais bien sur. Je te traduis Madyh, ce gamin sort tout droit d'un orphelinat dans le Nord du royaume. Hein mon grand ? » Cette voix était puissante, trempée par la bière bon marché. Le rire de Leon lui répondit et il haussa négligemment les épaules.
« C'est bien ce que je dis. Je viens d'un orphelinat mais qui sait ? Mes parents sont peut-être bien des seigneurs puissants, pas d'accord Lloyd ?
-T'es un p'tit con mon gars !
-Donc comme je le disais, je viens d'un orphelinat....

C'était l'âge du fer dans cet établissement, si tu voulais manger il fallait ou être plus fort et plus grand que les autres, ou parvenir à attraper ton bol plus vite que le grand derrière toi. Mais personnellement j'avais un technique bien à moi qui consistait à voler la nourriture de tout le monde et d'ensuite partir en courant. J'ai toujours été très doué pour piller les poches, les gamelles et les sacs des autres enfants. Même si je n'ai jamais été pris plus de deux fois, tout le monde savait que le chapardeur c'était mon humble personne et les autres gosses me fuyaient comme la peste. Il ne faisait pas bon traîner avec moi. Pourtant certains étaient inexplicablement attirés par le brigand en puissance que j'étais. Ils étaient fascinés comme un papillon par une flamme. Ils m'écoutaient pendant des heures inventer des histoires rocambolesques. Ils applaudissaient mes larcins avec ferveur, admiraient mes bleus lorsque les grands me passaient à tabac. Oui, je le méritais et j'en étais plutôt fier. Je passais tout mon temps libre à me moquer d'eux. J'étais plus malin et plus vif, j'avais une véritable aptitude pour railler mon prochain et le faire pleurer à chaudes larmes. Mais après la tristesse venait la colère et c'est comme ça que la gouvernante me fracassa un pot de chambre sur la tête. Le pot de chambre était vide, je tiens à le préciser. »

La fille éclata de rire et se rapprocha de l'étrange jeune homme.

« C'est comme ça que cette blessure est apparue sur mon visage, là sur mon œil. Ce n'est pas très glorieux et je préférais te dire que c'est lors d'un combat à mains nues face à un dragon de 6 mètres mais Lloyd me surveille donc... Bref, je suis resté sonné, j'ai dormi pendant des jours et je crois bien qu'on a failli me déclarer mort. J'aurais peut-être dût me calmer à cette époque, mais à peine remis sur pied, j'ai provoqué un grand de l'orphelinat. J'avais peut-être dix ou neuf ans, je n'en suis plus très sur. Lui et sa bande me poursuivirent jusque dans la court du bâtiment. Alors que je voyais les quatre larrons avancer vers moi leur sabre de bois à la main, une ombre étrange est passée au-dessus de nos têtes. Tous les cinq avons regardé en l'air, et je n'eus même pas le temps de hurler d'une grosse créature particulièrement moche m'avait prise dans sa gueule ! »

A l'extérieur de la taverne, un grognement mécontent raisonna.

« Comme tu l'as compris Mad, c'est bien Shun'Rei ici présente. Elle avait dût me reconnaître comme son alter ego ou quelque chose du genre amusant n'est-ce pas ?
-Elle ne sait pas dans quoi elle s'embarquait ! » Ricana Lloyd en adressant un regard à la petite dragonne qui observe la scène par la fenêtre de la taverne.
« Oui je pense aussi. Mais voilà, il paraît qu'on est né le même jour et que donc nous sommes inséparables. Une preuve de plus que je suis plus qu'un simple humain comme vous les gars. C'est pour ça que notre employeur me paye plus que vous, je vous suis supérieur en tous points mes mignons.
-Oh ta gueule mon grand sinon...
-Continue ton histoire Leon, avant qu'il ne te prive de ta mâchoire.
-Donc comme je le disais, elle m'a emportée façon paquet de linge sale à travers la lande. Soit dit en disant, je ne me souviens pas tellement de ce premier vol. J'étais très occupé à gesticuler dans tous les sens en vociférant et en pleurant toutes les larmes de mon corps, soutenu par le fond de mon pantalon. »
Lloyd éclata de rire et Madyh sourit à son tour.

« Les premiers temps n'ont pas été très simples, j'étais convaincu qu'elle allait me manger tout cru et j'essayais vainement de descendre du pin où elle m'avait accroché. Au bout d'une journée sans manger, passée à beugler à l'aide, Shun Rei est revenue avec un demi raton laveur dans la gueule, sans doute destiné à me restaurer. Ne prenez pas cet air dégoûté c'est un plat très raffiné par rapport à la soupe de l'orphelinat. Ainsi fut scellée notre amitié, sur la dépouille d'un pauvre animal qui passait par là. Elle me redescendit sur le sol, et voulut commencer à communiquer avec moi. Bien évidemment, mon premier geste fut de prendre mes jambes à mon coup en hurlant de plus belle. Malheureusement, que ce soit le raton laveur putride ou le mal de l'altitude je m'écrais face contre terre à la première branche venue. Calmement, Shun Rei me raccrocha par le col au conifert passif. »

Dehors, le ricanement étrange du dragon retentit.

« J'ai donc passer deux jours de mon existence, pendu à un arbre de dix mètres de haut, cotoyé par les corbeaux qui répondaient à mon regard sceptique par un croassement épouvanté car probablement n'avaient-ils pas l'habitude d'une telle compagnie. Lorsque je retouchais le planché des vaches, je commençais à me faire aux dents démesurées de Shun Rei et j'ai décidé de lui donner un nom. Finalement, cette relation s'est tissée assez naturellement, mais je ne crois pas à un instinct particulier. Je pense que c'est à cause des histoires de chevaliers ailés qui courraient dans l'orphelinat et de mon orgueil démesuré qui m'avait fait m'identifier à eux sans trop de mal. J'ai décidé de rejoindre la première ville de dragonnier venue, maintenant que je faisais parti de leur peuple. Je n'étais pas qu'un simple humain, loin de là !
Chevaucher un dragon sans scelle n'est pas particulièrement difficile, mais ce n'est pas ce que je préfère. Oui, je sais que les guerriers virils et poilus ne s'encombrent pas de sièges confortables mais, parce qu'un jour j'espère avoir des enfants, je ne prends pas ce risque. A l'époque, les écailles de Shun faisaient d'assez bonnes prises pour que je résiste à sa vélocité. Cependant, voler n'était pas quelque chose d'innée chez moi. Je n'ai pas grandi, comme certains, juché sur le dos d'une bébête moi ! J'étais fatalement terrifié les premiers temps. D'ailleurs si Jérald n'avait pas été là je pense qu'aujourd'hui un bouillie de Leon ornerait les chemins du royaume.
-Qui est Jerald ?
-Ha.... Jerald... tout un poème. C'est un vieil homme qui a eu le plaisir de me rattraper à la volée alors que j'allais m'écraser la tête la première sur la forêt des elfes. Il volait fièrement sur un dragon rouge aux écailles bariolées et qui avait l'air aussi saint d'esprit que son maitre. Mais il avait un faculté très intéressante que j'approuvais et qui me poussais à rester avec lui plutôt que suivre ma propre voie : il savait faire du feu. Le vieux, pas le dragon dont l'unique mérite était d'imiter le cri du pinçon en rut.

J'ai passé près de quatre ans sur les routes du pays avec cet homme. J'ai appris à me battre à l'épée à ses côtés, à voler avec plus d'adresse sur mon dragon et à détrousser plus efficacement les voyageurs imprudents. Mais nos chemins ont fini par se séparer, je voulais découvrir la société des dragonniers, vivre des larcins ne me suffisait plus... je voulais du neuf sans doute, des rencontres. Je ne fus pas déçu. En une semaine j'étais recherché par trois gangs différents, un guilde de marchants de vins et quelques gardes officiels. Je ne pouvais me détacher de mes habitudes. Et cela me convenait parfaitement, fuir à toute vitesse est devenue ma spécialité. J'ai acquis une certaine réputation et des amis de confiance. Dix ans plus tard, on m'embauche régulièrement pour des affaires comme la notre : assassinat, quête bizarre, protection de caravanes marchandes, etc. La routine en fait. Mais j'aime bien voler pour mon compte et m'enrichir indépendamment.
-Quoi ? Pas d'autres aspirations ? Shun le prend bien ?
-Hum.... autant que son nom. Au début, elle n'aimait pas ça mais aujourd'hui nous sommes... libres n'est-ce pas ? C'est ce qui compte. Nous nous amusons, nous n'avons besoin de rien d'autre.

Competence au combat

> Talent(s) : Excellent coureur, endurant et sprinteur émérite. Aussi habile sur le sol que son dragon dans les airs, sa rapidité fait toute sa force.
Il ne sait jouer d'aucun instrument en particulier, à peur des insectes volants et ne sait pas cuisiner. Il n'aime pas les chevaux et les poneys mais en mange sans problème.
Parfait voleur et bretteur doué.

> Point(s) fort(s) : Leon est particulièrement habile à l'épée et au sabre mais son arme préférée reste les mâchoires de sa dragonne. Le duo infernal brille par sa rapidité et sa discrétion lors de ses missions. Parallèlement à cela, le jeune homme a une étrange aptitude à réfléchir à toute vitesse, notamment lorsqu'il s'agit de se moquer de son adversaire.

> Point(s) faible(s) : La contrepartie principale de sa rapidité et de sa précision est surtout son manque de puissance. En effet, sur le dos de Shun'Rei, Leon peut atteindre des piques de vitesse mais ne peut transporter des charges lourdes comme des armures ou attaquer directement depuis son dragon. Il a aussi une capacité déplorable à se déconcentrer lorsqu'il croise une jolie fille ou n'importe quel autre créature/objet/truc plus intéressant que sa mission. (3 lignes)

IRL

> Prénom/pseudo : tecnic/i]
> Age réel : [i]18 ans
> Comment as tu connu le forum ? top site
> Comment trouves-tu le forum ? A suiiivre ! Mais j'aime la simplicité du contexte même s'il manque des spécificités comme des coutumes particulières etc, qui donneraient un peu plus de consistance à l'univers

> Le code du forum, c'est quoi ?

bienvenu et bon courage pour la fin de ta fiche ^w^

trop de dragonnier ces derniers temps


sinon, bienvenue

Welcome à toi !.. C'est vrai que y'a pas mal de dragonniers Oo On va se faire bouffer, vite fuyons ! \o/

Et oui, dragonnier au pouvoir

Bienvenue

En tout cas, j'aime beaucoup ton dragon (dragonne^^ mais je ne crois pas que cela existe..). Elle est bien décrite et on a enfin un peu d'originalité dans "ses atouts". Et j'adore le côté "déconcentré" de ton personnage. Ça promet, j'ai hâte de voir la suite

Bon courage.

Bienvenue nouveau dragonnier ^.^
On a la côte décidément *o* Mais si y en a trop, on finira par ne plus avoir de quoi manger /ZBAF/
J'aime beaucoup ton avatar en tout cas ^-^

Mais non voyons..

On ira piquer chez les voisins

Terminationné!

Original cette façon de faire les descriptions x) Mais sympathique !
Pense a signer le règlement !

Je te valide de ce pas ^^

J'espère que tu pourras très vite rp et t'amuser parmi nous !
Bonne continuation sur Edonna - La guerre des clans !