Les elfes croient en une créature qui, depuis des temps immémoriaux, apporterait inlassablement chaque saisons et prodiguerais aux elfes leur pouvoirs. Cette facette, nommé Noya, adopte différent aspect en fonction de chaque saisons. De très petite taille, elle aurait été aperçu par différente personne, et tout elfe s'accorde à dire qu'elle ressemblerait à une fée.

Au printemps, elle serait tout de vert vêtue, ses ailes irradiants d'une lumière qui lui permettraient de se fondre parmi les lucioles. Le tintement de ses bracelets s'entrechoquant permettrait, selon la légende, de faire pousser les arbres et faire éclore les bourgeons. La terre est l'élément qui lui est associé à cette période.

En été, ses ailes se transforment en magnifique ailes de papillon, symbole de renouveau. Cet aspect lui permettrait de se laisser guider d'arbres en arbres afin d'écouter leurs murmures inaudibles... La légende veut que si un elfe entend les arbres parler entre eux, c'est que Noya ne doit pas être bien loin. Le feu est l'élément qui lui est associé à cette période.

En automne, ses ailes s'assèchent, sa chevelure blanchit à l'approche du froid mordant de l'hiver. On dit que c'est à cette période qu'elle est le plus facilement identifiable, car elle adopte l'apparence d'une fée dévêtue, profitant des dernières bouffées de chaleur et des faibles rayons de soleil encore présent. Le vent est l'élément qui lui est associé à cette période.

En hiver, Noya perdrait ses ailes, et s'enroulerait dans un grand drap blanc, afin de disparaître et de se reposer pour pouvoir de nouveau, l'année suivante, apporter le printemps. On dit que son drap est tellement froid qu'il gèlerait les nuages eux même. C'est la seul période de l'année où les elfes offrent des offrandes, afin d'aider leur déesse à reprendre des forces. L'eau est l'élément qui lui est associé à cette période.

Il existe autant de dieux qu'il existe de bestiaires différents. Mais un seul sort réellement du lot, et est commun à tous, il est reconnu en tant que Seigneur de la Nature. Il est innommable, bestiale et tout puissant. Cependant, il n'a également pas d'apparence, on dit de lui que dès qu'il apparaît, il rase littéralement tout se qui se place devant lui, ne laissant pas de survivant, avant de s'en retourner dormir. Certains bestiaires pensent même que ce Dieu habite le vent lui même... Il est autant adoré que craint.

Le dieu des dragonniers est, dans la légende, un grand dragon, fait de nuages, qui engloberait le monde tout entier de ses ailes bienveillantes. On dit de ce dieu qu'il est aussi passif que les dragonniers sont va-t-en guerre, et n'influerait jamais sur le cours d'une bataille. Gushnak est son nom, et c'est pour la reconnaissance de ce dieu que les dragonniers se battent. Il est dit que le plus grand dresseur de dragons qui n'ai jamais existé pourra un jour chevaucher ce dieu, et apporter gloire, honneur et richesse à son peuple, ainsi que la soumission de toute les autres créatures existantes sur Edonna.

(cet article est une ébauche, si vous voulez rajouter un nouveau Dieu, envoyez un MP au PnJ, avec une image de statue et un descriptif)

Cawu : Dieu du changement et du commerce. Toujours représenté avec une épée brisé, il a, selon la légende, perdu un combat à mort mais aurait trouvé un objet à troquer en échange de sa vie.

Celui-qui... : On l'appel Celui-qui-Sait ou encore Celui-qui-Voit, parfois, on le nomme également Celui-qui-Hante ou encore Celui-qui-n'est-Rien. De lui, vous ne trouverez jamais de statue, car il est le dieu de la misère, de la discorde, de la violence et du savoir. Seul les plus érudits peuvent suivre sa doctrine sans devenir éminemment violent, du moins il paraît.

Eda la Bienveillante : Gloire à Eda et à la lumière, à la vie et à l'espoir... Si vous voulez absolument survivre dans ce monde hostile, priez Eda, car elle seule connait la valeur d'une vie.

Les Frères : Au nombre de trois, masqués, ils ont le symbole de la fraternité, de la paix et de l'équilibre. Si leur aspect est repoussant, c'est à l'image des autres créatures de ce bas monde, bien moins gracieuse que les humains. Ils apportent avec eux un message de tolérance, et leur disciple sont bien souvent des gens très tolérant et conciliant.

Melios : Dieu du feu, du sang et de la victoire. Il est le symbole de la guerre et orne chaque armures des soldats du royaume des humains.

(cet article est une ébauche, si vous voulez rajouter un nouveau Dieu, envoyez un MP au PnJ, avec un dicton et un descriptif)

Les nains on la particularité de vénérez Melios, tout comme les humains, même si pour eux, il s'appelle Dulir.
Les nains n'ont pas de représentation concrète de leur dieu, car il s'agit de l'esprit de quelques un des nains ayant réalisé des exploits hors du commun ! De temps à autres, une gravure ou une sculpture est érigé, mais comme tous les nains se ressemblent, on ne voit pas la différence. En voici quelques un :

Dulir : Dieu du feu, du sang et de la victoire. Il est le symbole de la guerre et orne chaque marteaux, et chaque pioches des nains. Dans la légende, Dulir aurait réduit à néant une armée entière à la seul force de son marteau et de ses bras. L'adage dit : « Bébé à gros bras, Dulir sur le champ de bataille. »

Glonar : Dieu de la fécondité. Aussi incroyable que cela puisse paraître, les naines étant peut commune, les nains vénèrent ce dieu pour le moins pas banal. Il est dit que Glonar, dans ses jeunes années, auraient charmés toute les naines des plus grandes galeries, et aurait réussi à toute leur faire un enfant. Le dicton nous dit : « Ne cours pas la pucelle, cours la mine tout entière ! »

Gebur : Frère de Glonar, il est le dieu de la bassesse et de la laideur. Jaloux du charme de son frère, il l'aurait maudit avant de se donner la mort. Il est rattaché à l'orgueil, mais reste un dieu des plus craint, car il était, dans la légende, imberbe, se qui pour un nain est inconcevable ! Il n'est pas rare pour un nain de cracher comme insulte « Peau de Gebur ! » qui signifie littéralement connard et imberbe.

Tignar : Dieu des forges. Il est dit qu'il aurait réussi à lui seul à fabriquer en une seule nuit assez de haches et de marteaux pour équiper tout les soldats de son royaume, tout en rédigeant un livre où il parlait de son oeuvre en tant que forgeron. Mort à la tâche, il a gagné l'insigne honneur de monter au panthéon, et son nom a été donné aux grandes portes de fer qui garde l'entrée des plus profonde galerie, les portes de Tignar. Le dicton dit : « T'es un p'tit Vignar toi... » se qui signifie que la personne est méritante dans son travaille.

Loibur : Dieu de l'ivresse, de la folie festive, des chansons paillardes et de la musique. De loin le dieu préféré des nains. La légende dit qu'il aurait maintenue pendant huit jours et huit nuits la mine en éveille à grand renfort de bière et de chansons. A sa mort, il fut reconnu, et admit au panthéon pour avoir organisé la plus grande et la plus belle des fêtes naines. L'adage nous dit : « C'est la fête ! »

Ural : Dieu de la pierre. Ce nain aurait de son vivant guetter pendant plusieurs mois l'arrivé du roi des nains de retour de bataille pour lui annoncer une nouvelle capital concernant un trésor qu'il aurait découvert. Lorsque se dernier revint, 16 mois c'étaient écoulés et jamais Ural n'était rentré dans la mine, affrontant le froid, la faim, la solitude et le sommeil, et Ural rapporta son message et déclara : « Je n'ai jamais failli, telle la roche, j'ai tenu ». Il mourut juste après cette phrase.