Edonna
<div style="backgroundimage: url(https://2img.net/r/ihimizer/img6/2513/fontcadreconnection.png);">
Bienvenu sur Edonna cher invité !

Le forum est tout nouveau !
En effet, il a ouvert ses portes le 4 juin 2011
Nous somme à la recherche active de membres.

En résumé, Edonna - La guerre des clans s'est :
  • Un forum rpg fantastique heroïque proposant aux membres des intrigues pour avancer dans l'histoire.
  • Un bon niveau de RP : nous demandons 15 à 20 lignes minimum ! Ce forum n'est pas ouvert à tous, on y demande donc un très bon niveau de rp, mais aussi d'orthographe, d'expression et de compréhension écrite et du vocabulaire! Ce n'est pas un forum fait pour les débutants !
  • Les avatars doivent faire obligatoirement 200 x 400 et doivent être de type manga ou image de synthèse.
  • Nous demandons un âge minimum de 14 ans pour s’inscrire : et oui, car avant 14 ans, je ne vois pas quel est l’intérêt d’être sur internet !


Sur ce je vous laisse entrer sur le forum Edonna – La guerre des clans
et vous souhaite une bonne visite en espérant que vous vous y inscrirez !
</div>
Edonna
<div style="backgroundimage: url(https://2img.net/r/ihimizer/img6/2513/fontcadreconnection.png);">
Bienvenu sur Edonna cher invité !

Le forum est tout nouveau !
En effet, il a ouvert ses portes le 4 juin 2011
Nous somme à la recherche active de membres.

En résumé, Edonna - La guerre des clans s'est :
  • Un forum rpg fantastique heroïque proposant aux membres des intrigues pour avancer dans l'histoire.
  • Un bon niveau de RP : nous demandons 15 à 20 lignes minimum ! Ce forum n'est pas ouvert à tous, on y demande donc un très bon niveau de rp, mais aussi d'orthographe, d'expression et de compréhension écrite et du vocabulaire! Ce n'est pas un forum fait pour les débutants !
  • Les avatars doivent faire obligatoirement 200 x 400 et doivent être de type manga ou image de synthèse.
  • Nous demandons un âge minimum de 14 ans pour s’inscrire : et oui, car avant 14 ans, je ne vois pas quel est l’intérêt d’être sur internet !


Sur ce je vous laisse entrer sur le forum Edonna – La guerre des clans
et vous souhaite une bonne visite en espérant que vous vous y inscrirez !
</div>
Edonna
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot 6 Boosters Mascarade ...
Voir le deal

Partagez|

Aux portes de la ville

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Nalia De Gath
Nalia De Gath


Messages : 10
Date de naissance : 20/09/1995
Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 28
Age du personnage : 19 ans
Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitimeDim 17 Juil - 17:31

N'ayant jamais eu de réelles occasions de quitter le château dans lequel elle avait grandi, Nalia ne connaissait que très peu de choses sur le monde extérieur. Edonna regorgeait d'une infinité d'endroits, tous plus différents les uns des autres, et désormais la jeune héritière avait le loisir de les explorer un par un. Mais malheureusement le temps lui étant compté, elle ne pouvait réellement prendre le temps de s'arrêter dans chaque bourgade pour s'adonner à des visites touristiques, bien que l'idée la réjouissait fortement. Le soleil commençait à peine à décliner lorsqu'elle posa le pied pour la première fois aux portes de cette petite ville de la province humaine. Après des heures de chevauchée intense, elle avait décidé de faire une courte halte pour reprendre des forces avant de repartir en quête de son mystérieux parent. Son frère, plus précisément, se trouvait quelque part au fin fond des terres edonniennes, et elle se devait de mettre la main sur lui le plus rapidement possible. Nalia était profondément exténuée par ses recherches. Rechercher un homme dont on ne connait ni le nom ni l'apparence, était comme essayer de trouver une aiguille dans une botte de foin. Non... dans une montagne de foin.

Les portes de l'inconnue cité, étaient gardées par deux soldats en tenue flamboyante, tenant fermement dans leur main le pommeau de leur lame, et postés de part et d'autre d'une imposante porte en bois massif. L'ouvrage était particulièrement complexe, et semblait vouloir volontairement donner une image de puissance à la ville. Quelques villageois étaient éparpillés au centre d'une petite clairière encadrée par une luxuriante forêt de pins. D'autres individus allaient et venaient, à cheval ou à pied, sans se soucier de l'arrivée de la jolie brune aux yeux azur au sein de cette agitation urbaine. Une diligence menée par deux colossaux chevaux de trait, passa devant elle. Cela lui rappelait avec mélancolie la cour, et elle se mit presque à regretter le confort de voyager dans un espace aussi luxueux. Son attention, cependant, fut rapidement attirée par la présence d'une silhouette encapuchonnée, et qui semblait occupée à une sombre besogne, dissimulée derrière un arbre à quelques mètres de là. Les deux gardes de la porte s'étaient réunis, et semblaient à leur tour fixer l'étrange protagoniste d'un oeil inquisiteur. Tous deux commencèrent à débattre sur la nature de l'activité de l'étranger, et la question de savoir si oui ou non, ils devaient intervenir et l'arrêter. L'un prétextait qu'il pouvait être source de danger, tandis que son accolyte, un peu naïf et simplet quoique particulièrement doué pour l'art culinaire, essayait tant bien que mal de défendre le mystérieux inconnu, appuyant le fait qu'il pouvait très bien être en train d'étudier l'état des aiguilles de pin en cette période de l'année.

Nalia ne prêtant qu'une attention distraite à la conversation des deux soldats, fit quelques pas en direction des citadins épars situés un peu plus loin. Elle attacha la longe de son cheval autour d'un tronc, le laissant brouter la végétation alentour à sa guise. La jeune femme ne se sentait pas très à l'aise à discuter avec le peuple, n'ayant jamais eu réellement l'habitude de tester ses talents en communication. Toutefois, elle devait surmonter ses appréhensions et se forcer à aborder les habitants, seul moyen pour elle de pouvoir un jour mettre la main sur son frère...

«Excusez-moi je... j'aurais besoin d'un renseignement...»


Luss'ill Claire
Luss'ill Claire
La Voyageuse à Corne. ♪


Messages : 185
Date de naissance : 21/04/1992
Date d'inscription : 04/07/2011
Age : 32
Age du personnage : 21 ans.
Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Re: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitimeMar 19 Juil - 0:34

Après avoir rencontré Akiko, Luss'ill retourna chez Lloyd, où elle passa un très bon moment avec lui, mais elle avait décidé qu'elle repartirait assez vite, à la fin de cette semaine pour être plus précis. La fille se promenait tranquillement dans la forêt de pin quand elle aperçu les mûrs de la ville. Elle se demandait si elle arriverait à rentré pour trouver une bibliothèque pour se renseigner sur les merveilles de ce monde ... mais aussi pour ce fameux Trésor qui déclencha le guerre entre la nature et les humains. La fille à corne, curieuse, s’approchait discrètement de la ville pour voir se qu’il en était. Elle avait l'habitude de le faire étant plus jeune sans vouloir vraiment entré, mais elle avait grandi, elle voulait en savoir plus. Être voyageur(se), c’est aussi être curieux de tout se qui nous entoure, du moins, c’est ce que pensait la fille-Haku. Approchant discrètement tout en mettant sa capuche pour un minimum de discrétion, la fille se cacha derrière un pin et regarda en direction des grandes portes de la ville. Elle analysa d’un air curieux les allers et venues des personnes qui entraient dans la ville : Jolie femme brune à cheval, grand carrosse avec des chevaux plus impressionnant que sa jument, divers marchands, un nain, des familles, et les deux gardes en armures rouges flamboyantes. Ces derniers était d’ailleurs en train de regarder en sa direction tout en discutant. Surement avait-elle été repérée, mais elle était bien trop loin pour qu’elle soit attrapé si les gardes commençaient à aller vers elle. Elle évita tout de même de trop bouger, évitant donc aux gardes trop éloignés de voir une tête bougeait, mais surtout les cornes qui passé par les trous de la capuche. La fille se mit à méditer quelques questions dans sa tête, mais resta sur ses gardes en focalisant sa vue sur les gardes et son ouïe.

* Je me demande se qu’il y a derrière ses portes … bon évidement, surement des maisons, des marchés, des auberges, des tavernes et autres bâtiments administratifs … mais j’aurais bien voulu voir l’architecture et la matière, juste pour comparé avec les elfes … j’aurais bien voulu goûter quelques spécialités aussi … surtout des pastèques, voir d’autres fruits! Mais mes recherches aussi ... *

La fille soupira un long moment de déception puis retourna dans ses pensées.

* Aaaah … si seulement mes jolies cornes n’étaient pas si visible … Bah, je trouverais bien un moyen d’y entrer un jour ou l’autre, et de regarder de plus près … mais pas aujourd’hui … *

La fille-haku commença à vouloir tourner les talons pour retourner vers sa charrette en faisant un détour pour que les gardes de la retrouve pas une fois disparu. Elle était maline pour une Bestiaire. Surement grâce à son passé avec Lloyd, qui lui appris énormément de chose. Quoiqu’il en soit, elle s’arrêta en voyant la jolie jeune femme avançait vers elle sans aucune envie meurtrière. Mais pourquoi venait-elle vers la fille? La fille à corne espérait que ça ne serait pas pour débattre d’une chose stupide comme le fait qu’elle était une bestiaire. La femme aux longs cheveux bruns s’arrêta un moment, probablement en remarquant finalement les cornes de la jeune bestiaire, mais continua à s’avancer vers elle avec la même expression qu’avant. Peut-être la fille à corne était paranoïaque mais elle mit tout de même en garde ses sens en cas d’attaque de la femme.

«Excusez-moi je... j'aurais besoin d'un renseignement...»

* Eeeeh … ? *

La fille à corne relâcha intensément sa vigilance comme en réponse à la phrase de l’inconnu, mais reprit assez rapidement ses esprits. Elle n’aimait pas vraiment les humains, mais elle savait que tous n’était pas des brutes malveillantes, mais ce n’était pas une raison de ne pas se méfier. Elle décida tout de même d’avoir une expression naturelle en penchant simplement la tête.

«  O-oui … ? »

C’était court comme réponse … mais la fille était mal à l’aise avec les humains. Elle rajouta donc timidement :

« Excusez-moi, je ne suis pas du coin … ça m’étonnerais que je puisse vous aidez mademoiselle … »


Dernière édition par Luss'ill Claire le Jeu 21 Juil - 3:10, édité 1 fois (Raison : Modification du Premier paragraphe pour l'Histoire de Luss'ill ( N'influant en rien le RP ) [ MP de précision envoyé à Nalia ])
Nalia De Gath
Nalia De Gath


Messages : 10
Date de naissance : 20/09/1995
Date d'inscription : 15/07/2011
Age : 28
Age du personnage : 19 ans
Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Re: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitimeDim 24 Juil - 22:54

La silhouette encapuchonnée avait enfin décidé de sortir de sa cachette. C'était une attitude fort intrépide, quand on sait que deux soldats assignés à la surveillance des portes de la ville l'avaient dans le collimateur. Leur débat n'en finissait pas. Malgré leurs tergiversations qui ne semblaient pas être prêtes d'être terminées avant un bon bout de temps, il n'étaient toujours pas parvenus à trouver un point d'accord. Pourtant, ni l'un ni l'autre ne détenait la bonne réponse concernant l'exacte identité du mystérieux inconnu. Non, il n'était ni particulièrement intéressé par les aiguilles de pin, ni un dangereux terroriste. Il n'allait ni passer des heures à faire des prélèvements inutiles sur les branches des arbres, ni lancer un assaut sur la paisible cité. Il s'agissait seulement d'une Bestiaire, qui, probablement par pudeur, avait décidé de se dissimuler derrière un capuchon pour ne pas effrayer les passants. Elle s'était pourtant mêlée à la foule, sous l'oeil inquisiteur des deux gardes. Et ni Nalia ni les citoyens ne semblaient s'être aperçus de sa véritable nature.

La jeune femme qui s'était timidement approchée de la masse grouillante d'autochtones amassés devant l'entrée de la petite ville, avait justement pris pour cible la mystérieuse Bestiaire encapuchonnée. C'était vers elle qu'elle avait entreprit de se diriger, afin d'obtenir les renseignements qu'elle nécessitait. Il lui fallait simplement trouver, pour l'instant, un endroit pour passer la nuit, et reprendre des forces pour la dure journée de recherches intensives qui l'attendait au réveil. Son frère était peut-être plus près d'elle qu'elle ne le pensait, mais pour le moment, l'esprit de Nalia était beaucoup trop embrouillé pour qu'elle puisse se concentrer sur quelque sujet que ce soit, si futile soit-il. Trop de problèmes lui occupaient l'esprit, et elle n'avait actuellement qu'une envie... sombrer dans un profond sommeil.

Quand son interlocuteur lui répondit, timidement, et d'une voix légèrement tremblante, Nalia fut soulagée de voir qu'elle n'avait pas été ignorée. Seulement, elle ne put s'empêcher de se montrer déçue, oui, déçue par la réponse qui lui avait été donnée. Alors que la fatigue prenait de plus en plus le pas sur sa réflexion, voilà qu'elle tombait sur la mauvaise personne. Cette-dernière n'allait décidément pas lui être d'une grande aide pour trouver un toit, néanmoins, l'éducation noble de Nalia lui avait enseigné de ne jamais se montrer impolie envers autrui, quelques soient les circonstances.

«Oh, je vois... Je suis moi aussi de passage, et j'aurais simplement voulu savoir si vous ne connaissiez pas un endroit non loin d'ici où je pourrais passer une nuit tranquille. Mais, merci de votre aide, je m'excuse de vous avoir dérangée.»

Nalia effectua une discrète révérence, prête à s'éclipser...
Leon Hilldrendr
Leon Hilldrendr
Ravissante tête à claques


Messages : 48
Date de naissance : 15/10/1992
Date d'inscription : 05/07/2011
Age : 31
Age du personnage : 24 ans
Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Re: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitimeVen 29 Juil - 16:09

    Alors que leurs yeux étaient absorbés par la contemplation de l'étrange tandem féminin, les deux gardes de la cité virent leur attention détournée par un nouveau venu. Depuis l'intérieur de la ville, le son de plus en plus distinct d'une chanson paillarde résonnait à leurs oreilles. Comme beaucoup de voyageurs présents, ils échangèrent un regard et jetèrent comme un seul homme, un coup d'oeil par delà des portes. Le chanteur avançait péniblement vers eux. Non pas que sa démarche fut lente ou traînante mais elle avait tendance à dévier, allant de droite à gauche comme si l'homme marchait sur le pont d'un navire à la dérive. Parfois, il butait sur un pavé mais se rattrapait in extremis en s'accrochant à un étal ou à une personne qui avait eu le malheur de se trouver là. En guise d'excuse ou de remerciement, il vociférait quelques vers supplémentaires de son poème libertin et crachait une haleine chargée de vin au visage de ses sauveurs. Riant bêtement lorsqu'on le repoussait il gratifiait généreusement la populace d'un geste obscène qui parfois n'était pas lancé du bon doigt. Sous les regards offusqués des gens bien pensant, l'homme fit remarquer à une matrone en tablier qu'elle possédait un nez gonflé et grumeleux semblable à une pomme de terre. Comme son mari arrivait, il éclata de rire et les assura de leur ressemblance au derrière d'un cochon avant de faire demi tour et de courir aussi vite qu'il le pouvait.

    Mais cette entreprise était ardue pour ce personnage dont le centre d'inertie à chaque seconde se modifiait. Au final, il tomba brièvement devant les gardes ébahis. Sur le passage de l'ivrogne, les soldats eurent l'esprit de retenir l'époux furieux et sa femme qui s'apprêtaient à étriper ce gamin. Ce dernier se retourna quand même pour leur rire au nez avant de reprendre son chemin en trébuchant. Ses pieds lui semblaient de plus en plus alourdis, comme si ses chausses avaient été remplis de pierres qui les rendaient terriblement difficiles à aligner sans trébucher. Sans compter le brouillard qui modifiait les contours des choses et ce paysage qui tanguait sans cesse. Pour retrouver l'équilibre, il battait l'air de ses bras ou les tendait devant lui tel un somnambule. Mais tout cela, loin de l'affoler le faisant rire aux éclats, lui conférait une confiance en lui qu'il n'avait jamais osé avoir. Qu'importe son gant droit absent et les tâches de vin qui maculaient sa veste ! Il était à son avis, le plus bel homme sur terre. D'ailleurs cette barbe de trois jours lui seyait aussi bien que les traces de vomi sur son col.

    Tandis que les deux paysans se débattaient dans les bras de gardes, Leon – car ce déchet avait bien un nom – redoublait d'efforts dans son hymne à la prostitution. Sa marche le fit dévier un peu à l'écart des spectateurs qui ne le lâchaient plus des yeux. Sans s'en apercevoir il avançait en direction d'une femme encapuchonnée et de sa compagne mais aussi et surtout d'un arbre qu'il se prit en peine tête. Poussant un cri rageur, l'homme se mit à insulter ce conifère qui osait se mettre au travers de son chemin. Il lui demanda alors des « expilcations » et décida de rester devant lui jusqu'à ce qu'il les lui présente. Mais en reculant pour toiser le visage de ce pin, il trébucha et tomba en arrière sur l'une des deux femmes. Il eut à peine le temps de se retourner pour lui agripper l'épaule. Il s'écrasa donc à demi dans l'herbe mais put aussi contempler de très près l'harmonieux visage de la donzelle. Un sourire idiot se dessina sur les lèvres de Leon qui, malgré sa langue alourdie par la boisson articula les mots suivant :

    « Vz' charmante Madmoiselle. Hé-hé... si j'avais pas été viré de toutes les tavernes de ce p*tin de patelin j'vous aurai bien invitée. Vous êtes trèèèèèèès belle. »

    Son sourire ne le quittait plus mais il tenta de se donner un peu de contenance en se mettant debout et en tenant d'ôter un chapeau absent pour la saluer avec. Dans ce vain mouvement, il aperçut la femme masquée et il tenta de la saluer du mieux qu'il le pouvait.

    « Soyez pas jalouse hein, j'vous aurais invitée aussi ! Haha! »

    Mais alors qu'il éclata d'un rire idiot et complètement inapproprié une masse noire fendit le ciel. Les humains poussèrent des cris et des exclamations de peur en voyant le dragon planer au-dessus d'eux. Sa gueule ouverte était hérissée de crocs aiguisés qui se refermèrent sur l'arrière de la veste de Leon. Celui-ci, à peine surpris lança un «Salut Shuny ! Je t'aime tu s... » mais le monstre ne lui laissa guère le temps de lui conter fleurette et s'envola en projetant sur la ville un nuage de poussière.
Luss'ill Claire
Luss'ill Claire
La Voyageuse à Corne. ♪


Messages : 185
Date de naissance : 21/04/1992
Date d'inscription : 04/07/2011
Age : 32
Age du personnage : 21 ans.
Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Re: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitimeSam 30 Juil - 1:53

La femme devant la fille à corne s’apprêtait à faire volte-face après des salutations de fin de discussion poliment mais une voix attira le regard des deux femmes. Un homme marchait en zig-zag tout en haussant la voix sans gêne, ne se privant d’aucun mot grossier envers les autres marchands et passants. Luss’ill l’observait avec attention et surprise bien que cela ne s’affichait pas sur son visage. L’homme aux joues bien rougeâtres et aux physiques d’ivres … vivants, ressemblait énormément à un pirate dans certains livres qu’avait lus, ou rumeurs et récits d’elfe entendus par la fille-haku. Il lui manquait un gant et avait des bottes différentes, peut-être eut-il quelques histoires renversantes, puis serait parti se saouler dans une taverne, qui sait. Plongée dans ses réflexions, la fille remarqua que l’homme ivre s’approchait, du moins essayait, des deux femmes. La Bestiaire recula de deux ou trois pas tout en baissant la tête à son approche, mais remarqua rapidement que l’affreux jojo c’était pris un arbre et était même en train de l’insultait, attendant par la même occasion des excuses de sa part. La fille eut un léger sourire au coin au vue de la situation, mais elle rabaissa à nouveau la tête rapidement pour que l’homme de vit pas son visage, ce qui était plutôt stupide vu qu’on voyait ses cornes dépasser. Mais le pseudo-pirate devait être trop saoule de toute manière pour s’en apercevoir, ou plutôt de réfléchir au pourquoi cette fille avait des cornes. Il tomba d’ailleurs à la renverse, emportant légèrement la femme qui avait demandé des renseignements à l’ignorante Bestiaire; Luss’ill tendit les bras à l’avant comme pour les rattraper, mais il était déjà trop tard et l’homme sortait déjà des phrases qui aurait pu être romantiques et charmeuses s’il n’avait pas son haleine de chacal, donc d’alcool fort, et sa tête d’homme en extase complètement fou. Il s’adressa ensuite à la fille-haku, mais elle ne fit pas vraiment attention vu l’état de l’homme qui se mit à rire aux éclats.

C’est alors que Luss’ill sentit un grand coup de vent, puis un autre encore plus proche et puissant. Voyant une grande ombre au sol, elle leva les yeux et vit une énorme bête ailée à écaille noir majestueuse. Elle ouvrit grand les yeux à la surprise de le voir d’un coup, surtout que l’énorme dragon regardait en sa direction. La fille se mit en garde comme pour contrer le vent qui s’affaler sur le sol puis remonter ensuite à chaque puissant coup d’aile. Le dragon prit rapidement l’homme complètement saoule par le col au niveau de la nuque et l’emmenait déjà bien loin, tandis que la fille replaça son regard vers l’énorme bête fantastique. La fille n’eut pas si peur que ça finalement, seulement lors de l’apparition du dragon. Cette ‘non-peur’ était probablement dû au pacifiste de la jeune fille-haku, ou peut-être à son sang-froid … ou même son instinct, bien qu’il ne fallait pas trop compter dessus à certain moment. Luss’ill quitta des yeux la silhouette noire maintenant bien lointaine et vit les deux gardes d’entrée venir rapidement vers eux, probablement d’un pour vérifier si les deux femmes allaient bien et de deux, vérifier au passage la nature de la fille encapuchonnée. Luss’ill réagit rapidement et se mit à courir dans le chemin qu’elle voulut prendre avant l’arrivé du pseudo-pirate après la discussion avec la jolie inconnue.

Dans sa petite course, elle était devenue pensive, revoyant l’image du dragon, s’imaginant énormément de chose à son sujet, se posant par la suite un grand nombre de question pleine de curiosité. Elle espérait maintenant, qu’un jour, elle rencontrerait un Dragonnier pacifiste qui lui répondra à toutes ses interrogations. En attendant, elle se dirigea de nouveau vers la maison où elle s’était abritée pour une petite pause, chez Lloyd, où elle lui racontera bien évidement sa petite aventure de la soirée.
Contenu sponsorisé


Aux portes de la ville Empty
MessageSujet: Re: Aux portes de la ville Aux portes de la ville Icon_minitime

Aux portes de la ville

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» Quand on arrive en ville... [Dena] [Terminé]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-
Edonna :: La guerre des Clans RPG :: Royaume des Humains :: Les petites villes